
Depuis 18 ans, Sonia Mabalia, a.k.a Lady Sonia s’est assignée comme mission d’amener les vies des autres vers le bonheur et de déclencher l’épanouissement aux travers des paroles bibliques. A Abidjan pour un meet-up prévu ce 09 Février, nous avons eu l’occasion de lui poser quelques questions.
Qui est Lady Sonia?
Une épouse, une mère de six enfants , une professionnelle du développement personnel qui a su développer des clefs, des stratégies et canevas pour activer l’épanouissement dans les vies de ceux qui y aspirent. Je suis auteure, conférencière, entrepreneure et une coach de vie. J’encadre, je forme et j’accompagne des milliers de personnes dans les phases difficiles ou décisives de leurs vies en mettant à leur service des clefs et stratégies pour se sortir de l’enfer émotionnel.

Comment êtes-vous devenue coach?
Je fais du coaching en informel depuis 15 ans auprès des ONG. Puis, il y a 3 ans, dans la cure de mes blessures internes, j’ai été approchée par des coachs qui m’ont reconnus ce talent. J’ai reçu une certification techno qui a complété mon master en ingénierie commercial, spécialiste en communication des entreprises et je me suis lancée sur les réseaux sociaux où l’impact a été considérable.
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Le 09 Février prochain, vous tiendrez le méga meet-up des gentlewomen à Abidjan. C’est quoi pour vous, une gentlewoman?
Une Gentlewoman est une femme épanouie en trois dimensions . C’est-à-dire sur le plan spirituel, dans son être émotionnel et dans sa vie sociale. Une femme de vision pleine de charisme et de courage !

Pourquoi avez-vous choisi Abidjan?
J’ai grandi à Abidjan. Mon cœur y a donc un attachement spécial. La Côte d’Ivoire est, en Afrique le pays où il fait le plus bon de vivre.
Quel est votre message à nos lectrices?
Déjà, félicitations à votre magazine qui est une belle référence. Ensuite, je souhaite encourager toutes les femmes qui se sentent handicapées, brisées par la vie à ne pas se laisser abattre mais de se relever en guerrière. Elles ont le droit d’être heureuses et toutes les clefs sont en elles !
