Kinda signifie dure à cuire en argot gabonais. Un surnom qui lui va comme un gant quand on voit comment Shan’l s’est affirmée au fil du temps en tant qu’artiste confirmée. Confiante en elle et prête à faire passer son message, elle a su s’imposer dans un monde souvent misogyne. Pour ce Mini Mag #7, Shan’l se dévoile dans un portrait inédit axé sur la confiance en soi.
Rejoins la communauté maintenant
Shan’l nous inspire à être libre et à s’affirmer en tant que femme sans écouter les remarques misogynes et sexistes afin de trouver la meilleure version de nous-même. Une vision de la femme qu’Aurore Mondah, responsable éditorial d’Ayana a partagé dans l’édito du mini Mang de ce numéro 7.
Celle qui se fait appeler “La Kinda” s’affirme dans un monde misogyne avec assurance, assume ses courbes et ses paroles de chansons avec culot et porte fièrement son message malgré les critiques. Elle a autant confiance en elle dans sa robe moulante qu’en pagne au village. Malgré son personnage sulfureux, elle reste fidèle à elle-même.
Lire l’édito ici
Le Mini Mag #7
Shan’l a pour habitude de choquer, le plus souvent volontairement. Mais derrière cette femme sûre d’elle, se cache aussi une personne plus humaine et sensible. Vous connaissez Shan’l La kinda ? Et bien venez maintenant à la rencontre de Chanelle Lekogo.
En une du Mini Mag, vous lirez un portrait exclusif sur ses débuts en musiques, la création de son alter ego et sa vision de l’amour.
Enfin, dans la rubrique “Être Ayana”, on vous partage 5 conseils appris de Shan’l pour reprendre confiance en soi.
Recevez gratuitement le mag sur WhatsApp